« Le portrait de l’artiste Eleonora Turovsky se révèle une inspiration de courage et passion. »
Paul Villeneuve, Journal de Montréal, 31 mars 1995
« Après avoir vu le film que Michka Saäl consacre [à la famille Turovsky]… on comprend mieux que pour Eleonora, comme pour Yuli son époux, et Natalya, leur fille, l’art est non seulement la dimension la plus importante de leur existence, mais aussi une nourriture essentielle qu’ils veulent à tout prix partager avec d’autres. »
Dominique Olivier, Voir, 6-12 avril 1995
 
« Dans L’Arbre qui dort rêve à ses racines, Michka Saäl racontait la rencontre au Québec entre deux jeunes femmes, une Arabe libanaise et une Juive tunisienne, cette dernière étant la réalisatrice qui s’impliquait personnellement dans cette réflexion sur l’émigration et sur les difficultés mais aussi les découvertes qu’engendrent les chocs culturels. Moins personnel et plus classique, Le Violon sur la toile reprend sur un autre mode ce thème de la fécondité de l’exil. » 
Francine Laurendeau, Le Devoir, 2 avril 1995